lundi 28 mars 2016

#8 - Comment je ne tiens pas ma promesse, dis donc !

Hey mon Ami,

Shame on me : je devais écrire un nouvel article dimanche 20, dernier délai, et au final, me voici ici aujourd'hui 28 mars.... Moooooooooooooooooooon, pas bieeeeeeeen !

Oui, voilà, c'est moi, là...
(Paraîtrait qu'à la base, ce bonnet devait transmettre la sagesse de l'âne à l'enfant-relou... Moué)

A vrai dire, j'ai été un peu occupée et puis pas mal chamboulée. Occupée par mon job à temps partiel de professeur particulier à domicile chez un grand nom de l'enseignement privé. Pas mal chamboulée par les récents événements bruxellois, pakistanais,... mondiaux, quoi. Depuis Paris, depuis même NYC en 2001, ou le métro parisien en... euh... 1996 (?), ces attentats deviennent presque "normaux", tant j'en ai vu défiler aux informations depuis ma tendre enfance. Malgré tout, leur horreur me surprendra toujours. Et surtout la simple mais difficile constatation qu'on ne peut rien y faire sans créer nous-mêmes un autre bain de sang...

Parce que, malgré tout, ça m'a fait rire...

Ceci est un débat que je laisse à nos "hautes" instances, sachant que si elles agissent à coups de missiles divers et variés, les pacifistes seront outrés, les associations d'entraide mondiale seront débordées, des civils innocents seront massacrés, des populations seront déplacées, d'autres scandales politico-militaro-financiers sortiront de l'ombre d'ici 10 ans... Et sachant également que si elles préfèrent la diplomatie et la "paix", des accords louches seront conclus, bradant discrètement nos valeurs, assurant de juteux contrats, créant de prochains scandales politico-militaro-financiers (tiens, là aussi ?), tout en perdant en parallèle la face devant des millions d'électeurs, criant vengeance, justice et protection.

Pessimiste, moi ? I don't think so, simplement purement réaliste et consciente de la nature de l'Homme. "L'Homme est un loup pour l'Homme" disait Plaute, qui disait d'ailleurs également qu'"il faut prendre les hommes comme ils sont". Je les prends comme ils sont, donc, comme Barjavel les narre et les aime : duaux, ambigüs. Impitoyables, égoïstes, égocentriques, guerriers, vindicatifs, assoiffés de pouvoir et d'argent, ambitieux à en vendre leur mère, incohérents à acheter une Jaguar et un jet privé tout en mangeant bio et local... Mais aussi, fraternels, doux, rebelles, intelligents, ingénieux, battants, aimants, protecteurs, généreux. Elle a cette beauté, la nature humaine, cet équilibre systématiquement mis à mal : un ying et un yang à elle seule, une espèce à détruire à tout prix, mais à conserver coûte que coûte. Je l'aime, cette espèce humaine, tout comme je la déteste...



Et paraîtrait que je ne suis pas la seule dans ce cas ! Avais-je déjà abordé avec vous la Politique ? Avec un grand P comme Passion et Parlotte, Pouvoir et Palabre, maniPulation et Paperasse (ah ? Manipulation, ça commence par un M ? Autant Pour moi...). Un bien bel exemple de notre humanité, n'est-ce pas, où des dirigeants plus ou moins fourbes font des choses plus ou moins altruistes afin de gagner une popularité plus ou moins méritée, pour être réélu plus ou moins judicieusement, sachant que plus ou moins la moitié de l'électorat sera plus ou moins pas content et manifestera plus ou moins longuement dans la rue (du coup, les lois passeront plus ou moins vite et plus ou moins bien).

A vrai dire, j'avais choisi d'aborder la loi El Khomri-Valls-Hollande (je ne comprendrai jamais pourquoi on arrête le nom d'un ministre pour une loi, sachant qu'une grande partie de l'équipe dirigeante intervient). Je voulais trouver les termes exacts des textes (150 pages initialement) et extraire les mesures principales, sans tenir compte, a priori, des avis des journalistes, des "opposants" politiques,... bref, de la manière la plus objective possible. 

Je me suis heurtée au premier problème : tant que ce texte n'était pas officiellement présenté à l'Assemblée, il n'en existait pas de version accessible en ligne. Seuls les journalistes, et peut-être les syndicalistes divers (j'imagine, vu le nombre qu'ils ont été à être mécontents) y avaient accès. On pouvait trouver des infographies et petits textes mis en ligne par le gouvernement, qui disaient en gros "voilà ce qu'on voudrait vous apporter", sans pour autant préciser les termes exacts : difficile de vérifier que, derrière les bonnes intentions, les actes étaient bien là. Et les gens lambda, les vous et moi, n'avions que les "on dit" balancés en boucle à la télévision pour se faire une opinion. Biaisée, forcément. Comment juger le plus objectivement possible un texte déjà prémâché par d'autres cerveaux ? Vous connaissez le téléphone arabe : on voit bien ce que donne notre phrase après une ou deux transmissions... Bref, je n'aimais pas ça dutoudutoudutou.



Mais, ô miracle, le texte est officiellement disponible ici depuis le 24 mars. 131 pages. Bim. Mange-toi le code du travail, miam ! Je vous avoue qu'en 4 jours, incluant le week-end pascal, je n'ai guère eu l'occasion de me pencher réellement dessus : un regard rapide en diagonale pour distinguer les chapitres, une sensation de gorge nouée et sèche à la lecture du nombre d'articles écrits dans un français courant (bien entendu), un estomac noué à l'idée de vous pondre un article rapidement. Ne m'en voulez pas, donc. Je tiendrai ma promesse, car je les tiens toujours. Mais avec un temps de décalage ;) 

En attendant, vous pouvez vous pencher dessus, pour les plus motivés. J'aimerais bien voir si on peut avoir un petit débat constructif, dans notre coin ! Ca sert à ça la case "commentaires" en bas du texte :) Car s'il est bon de remettre en cause des propositions gouvernementales, il est excellent de proposer des alternatives !

Aux Armes (légales, sans feu, ni douleur physique, hein) Citoyens !
Et Grobisou !



mardi 1 mars 2016

#7 - Comment je cherche un travail, dis donc !

Hey mon Ami,

Voilà, aujourd'hui commence mon sixième mois de non-activité, de sans emploi... bref de chômage. Ce mot fait froid dans le dos, hein ?! Et quand il arrive dans la vie, ce vilain mot en C, ça fait drôle...

Le premier mois du reste de ma vie

Le 1er octobre a été bizarre : j'ai dû quitter ma région toulousaine pour aller dire au revoir à mon Grand Tonton, qui déménageait vers les étoiles. De longues heures de train de nuit, pour finalement atteindre Nancy aux premières heures du vendredi 2 et rejoindre ma famille, réunie pour l'occasion mais triste... Quel contexte étrange, surréaliste, pour commencer un chômage indésiré. Un retour aux sources, une plongée dans les souvenirs, un bilan prématuré : qu'ai-je fait de ma vie ? Pourquoi en suis-je arrivée là ? La vie est finalement courte. Qu'ai-je fait pour ma famille, elle qui a fait tant ?  J'ai été si absente, était-ce nécessaire  ? Que faire pour faire mieux ?

En un mot : DUUUUUUUUUUUUR ! 

Alors j'ai d'abord décidé de... procrastiner : après tout, après des mois de course dans tous les sens, j'avais quand même bien droit à un petit mois de vacances ! Alors j'ai dormi des heures durant, me levant sans même me rendre compte que ma petite troupe était partie travailler. J'ai fait du sport à des heures où la salle était presque vide. J'ai fait mes courses à des heures où seuls les retraités se déplacent. J'ai préparé des petits plats, vu mes copines également sans emploi ou presque. J'ai bouquiné, regardé la télé, marché dans la rue. Et puis, je suis aussi allée à Berlin un week-end avec mes coupains de toujours, manger de la curry-wurst et des schnitzel (oui, je mangeais encore de la viande ^^) en buvant de la Pilsner ! 

Sont si beaux mes coupains d'amour ! (Crédit photo : DocNyny ;
les coupains, si vous ne voulez pas votre tête ici, je supprime ;) )

Et fin octobre, j'ai filé en Lorraine une petite semaine pour me ressourcer, avant d'enchaîner...

... le deuxième premier mois du reste de ma vie

Il a commencé à Paris, chez des coupains : c'est lors de cette fameuse semaine que j'ai passé mon casting pour rejoindre Najoui quelques semaines plus tard.

Et puis, il a fallu rentrer. Et puis, j'ai eu des soucis avec mon allocation chômage. J'ai fait une thèse à la fac, un système qui fonctionne en "auto-assurance" : après 3 ans de travail, j'ai eu droit à 2 ans d'indemnisation versée par la fac, que j'ai très peu touchée initialement, puisque j'ai enchaîné sur mon post-doc. Ce post-doc était payé par le CNRS, qui lui n'est pas en auto-assurance : après mon contrat, mon allocation aurait dû être versée par Pôle-Emploi. MAIS : je n'ai cotisé que 20 mois au CNRS, et non 24, et n'ai pas a priori accès à ces droits, puisque ceux ouverts à la fac n'étaient pas finis... (Vous suivez ?) Donc retour à l'indemnisation beaucoup plus faible de la fac, et surtout, retour au calendrier de trésorerie de la fac... qui verse donc mon allocation avec... plus de 2 mois de décalage...

En résumé, pendant 3 mois, je n'ai eu aucun versement ! Et les mois d'après, je suis censée toucher une indemnisation de 300€ inférieure à celle que j'aurais eue au CNRS : j'ai fait appel ("droit d'option"), mais la différence entre mes deux indemnisations étaient inférieure à 30%. Vous n'y comprenez rien et trouvez ça stupide ? Voilà...

Alors novembre a été le mois de déprime : "j'ai pas d'sous", "je sers à rien", "je suis nulle", "j'arriverai à rien", "je regarde les reines du shopping mais je ne peux même pas m'offrir un T-shirt", "ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiin !" (Vous comprendrez pourquoi il n'y a aucune illustration pour ce mois pourri !)

Et puis finalement, assez rapidement, est arrivé...

... le troisième premier mois du reste de ma vie

Décembre, c'est toujours chouette pour moi ! C'est la Saint-Nicolas, Noël, la fête, les gâteaux, les cadeaux... On a même craqué notre budget et acheté quand même un sapin, qui était juste MA-GNI-FI-QUE. 

Vouiiii, magnifiiiiiique que je vous dis !

J'ai aussi enregistré mon émission de télé chez Najoui, et j'ai gagné une caméra sport ! J'ai participé à des jeux sur Facebook et j'ai gagné une montre. La gagne et le moral revenaient !

Elle est belle, hein !

J'ai réfléchi aux stratégies à adopter pour ma recherche d'emploi, parce que, quand même, après deux mois, il était largement temps de s'y mettre ! J'ai activé les fameux réseaux sociaux professionnels et commencé à faire un tour des annonces disponibles sur le net. J'ai mangé avec mes ex-ex-collègues, et certaines ex, j'ai usé les chaises des salons de thé toulousains avec mes copines, avant de filer dans ma belle-famille en banlieue parisienne pour la fin de l'année 2015...

Le quatrième premier mois du reste de ma vie : le vrai !

Résolution 2016 : je vais me trouver un job trop bien, hyper adapté à ma morph.... ah non, pardon, je regarde trop les reines du shopping ! Donc un job hyper trop bien pour moi, peu importe le temps que ça prendra, les formations nécessaires, les trajets à faire.... Je vais tout donner et montrer ce que je vaux, nom d'une pipe !

Alors, ça fait quoi un docteur en chimie quand ça ne fait pas de recherche publique ? Plusieurs grands axes s'offrent à nous, Docs en Stock :

          La R&D

Ce n'est pas parce que la recherche universitaire embauche peu que la recherche privée n'embauche pas. Enfin, pas loin quand même. Normalement, il y a des gros groupes comme Sanofi, Pierre Fabre, L'Oréal... qui embauchent dans mon domaine. Malheureusement, tout le monde n'est pas sans savoir qu'ils ne sont pas au mieux de leur forme. Les rares embauches qu'ils proposent n'ont même pas le temps d'atteindre internet : tout se fait par recommandation en interne. Dommage pour moi qui ne connais qu'une seule personne dans ce milieu, qui m'a déjà dit qu'elle ne pouvait rien faire pour moi cette année...

          Le conseil

De gros groupes vont sous-traiter une partie de leur R&D ou voudront déléguer l'hygiène et sécurité, la mise aux normes qualités... Il existe alors des boîtes de conseil. J'en connais peu, mais je connais des gens dedans, qui peuvent me "co-opter" (je découvre un vocabulaire que j'ignorais jusqu'ici : pas facile de commencer sa carrière au pays des Bisounours et de découvrir le vrai monde après...)

Les CV ont été dûment envoyés, les candidatures spontanées en ligne également, via les CVthèques et autres voies. Mais ici aussi, tout marche par la recommandation et... je ne connais pas de gens assez haut placés pour ce faire. En bref, j'ai fait ma thèse nickel d'un point de vue scientifique, mais complètement ratée d'un point de vue stratégique.

          La reconversion vers l'ingénierie informatique

Le Docteur fait un peu flipper les RH en général : beaucoup de connaissances, beaucoup de compétences limitées à un domaine très précis. Pour peu que ce soit un Docteur de la génération Y, c'est le pompon et le recruteur fuiiiiiiiiiit (enfin, il jette le CV à la poubelle surtout).

Mais il semblerait qu'un domaine de l'industrie française se réveille et comprenne qu'un docteur a un grand potentiel : il sait chercher. Il ne sait pas quelque chose ? Il cherche, et trouve. Il ne sait pas faire quelque chose ? Il cherche une personne ayant cette compétence et se forme. Il a besoin d'une formation ? Il remuera ciel et terre pour trouver le financement qui va avec. Attention, je ne dis pas qu'un ingénieur n'a pas ces compétences-là. Enfin, bon, soyons honnêtes, on est quand vachement plus mieux, nous les Docs !!! On est juste des incompris, c'est tout ! Hihihi !

Alors ce domaine qui résiste à la pression des autres-qui-pensent-qu'un-docteur-c'est-trop-la-loose, c'est l'ingénierie informatique. Et surtout les fameuses SSII (qu'il ne faut plus trop appeler comme ça, apparemment, mais bon). Ces boîtes créent notamment des systèmes de gestion "clé-en-main" : du coup, il faut des développeurs, des testeurs, des intégrateurs... Et comme ils ont un turn-over conséquent et une demande croissante de la part de leurs clients, ils cherchent sans cesse de nouvelles têtes. Et ils ont l'air d'aimer les docteurs : d'autres qui me liront en parleront mieux que moi, n'hésitez d'ailleurs pas à réagir en commentaire ou sur la page Facebook DocLison. 

Alors ils organisent carrément des formations (par eux-mêmes ou par des boîtes) et sont prêts à prendre des docteurs de tout poil.

Bien entendu, j'ai également postulé dans ces boîtes, histoire de devenir développeuse. J'ai répondu à 5 annonces, envoyé des candidatures spontanées, passé mon CV à une responsable RH, passé mon CV à une collègue de ma conseillère Pôle-Emploi (ah oui, je ne vous ai pas raconté : je ne suis pas au Pôle-Emploi cadre, ahahahahahahahahahahaha), qui devait le passer directement à une responsable RH...

Voilà voilà.... Comment ça, quelle en est la conclusion ? Beh, je suis développeuse ? Non ? Beh voilà ^^

          La vulgarisation scientifique

Alors ça, moi ça me botte : la vulgarisation scientifique, c'est rendre accessible à tous des connaissances scientifiques. C'est simplifier, sans trahir, un contenu et le tourner de manière ludique, originale. C'est ouvrir l'esprit et les yeux des gamins, c'est surprendre les adultes. C'est voir des pupilles se dilater à la lumière d'une nouvelle connaissance, c'est voir une bouche s'arrondir pour un "oh" silencieux, c'est voir un hochement de tête chez quelqu'un qui a enfin compris. Bref, c'est mon rêve !

Mais, vous pensez bien, ce n'est pas si facile. Sous ce terme générique, se cachent des journaux type "Science & Vie", des associations type "Les Petits Débrouillards", des expositions éphémères type "Cité de la Science". Donc, ça embauche peu et ça cherche surtout des bénévoles !

Allez sur le site, ils sont peut-être près de chez vous !


Mais je ne désespère pas : Toulouse vient de s'équiper d'un "Quai des Savoirs", sorte de petite Cité des Sciences. CV en cours d'acheminement par différentes voies ;)

          L'enseignement

Mon pote de toujours, l'enseignement. Il m'a permis de payer une grande partie de mes études (en plus de mon job de caissière très enrichissant). J'ai été bénévole dans une classe de 3è en allemand, j'ai donné des cours au black à une jeune demoiselle pendant deux ans, en seconde et 1èreS, à un jeune en 4è pendant un an. J'ai été monitrice pendant mes trois ans de thèse...

Bref, j'aime la transmission de connaissances ! Alors là, comme je m'ennuyais, et que, par un beau hasard, on m'a proposé d'aider une gamine en seconde, j'ai recommencé ! Et j'ai même fini par rejoindre un grand groupe de cours particuliers. Bon, leur système les avantage surtout eux : SMIC horaire pour moi + indemnités CP + indemnités précarité + indemnités transports. En gros, si je ne fais pas plus de 20h de cours par semaine, je touche moins que ce que le chômage me donne... Mais comme je préfère remettre en route mon cerveau et servir à quelque chose, plutôt que de rester inactive, je me suis lancée. J'ai pour l'instant 4 élèves prévus, je ne les connais pas tous encore (la rentrée scolaire, c'est lundi prochain chez nous), mais je bosse déjà beaucoup, ne serait-ce que pour revoir et maîtriser les programmes scolaires de ces petits jeunes.

Donc voici la dernière piste exploitée actuellement. Il faut savoir que ce grand groupe de cours particuliers peut embaucher des gens à l'année : je teste quelques mois et je vois ce qu'ils me disent. Sinon, je suis inscrite pour le CAPES de cette année, mais je ne l'ai pas préparé : alors si ça me plaît toujours autant, je peux envisager de le passer l'année prochaine. Ou de bosser directement auprès du rectorat.

En conclusion après ces quatrième et cinquième premiers mois du reste de ma vie :

J'ai postulé sur toutes ces pistes ces deux derniers mois. J'ai surfé sur plusieurs sites d'offres d'emplois, j'ai contacté des Maisons de l'Emploi, des gens de partout. Et seule la boîte de cours particuliers m'a répondu, sous deux jours ! Alors, ça peut faire plein de choses un Doc en Stock, encore faut-il le retenir et lui laisser la chance de le faire. Ou c'est p't-êt' moi qui suis très mauvaise en CV et lettre de motivation, mais quand même... Attention, jingle : "laissez-moi travailler, laissez-moi travailler !"

D'ailleurs, il faut que je vous laisse : je dois jeter un œil sur le programme de SVT et de physique-chimie de 3è :)

Allez, Grobisou !